Pour la CGT, les politiques de bas salaires, de suppressions et de précarisation de l’emploi, de réduction de la protection sociale, des services publics et des droits des salariés ne sont pas les conséquences mais les raisons de la crise.
Ces causes découlent de choix politiques pour donner toujours plus de gages aux marchés financiers et aux agences de notation avec des conséquences dramatiques pour les salariés.