Le chantier de la restructuration des branches a été officiellement lancé lors de la commission nationale de la négociation collective du 22 septembre 2014, à la suite de laquelle un groupe de travail s’est réuni à quatre reprises. Il vise à réduire significativement le nombre de branches existantes, dont certaines n’ont plus d’activité ou de raison d’être, pour le faire passer à l’origine d’un millier à une centaine en dix ans.