L’assemblée générale de SYNTEC s’est tenue le 28 juin 2019.
Elle s’est conclue par une table ronde dans laquelle étaient présents les responsables des syndicats de SYNTEC composant ladite fédération à savoir :
➢ Mattieu Courtecuisse, président de SYNTEC conseil,
➢ Pierre Vierzat, président de SYNTEC Ingénierie,
➢ Olivier Roux, président d’UNIMEV,
➢ Le président de SYNTEC Numérique s’est fait remplacer,
➢ Pierre Courbebaisse, président de la FFP.
Chacun y a été avec son arrogance et son mépris envers les organisations syndicales et par conséquent des salarié.e.s.
Nous avons ainsi appris que les français votaient avec leurs pieds, que les élu.e.s des Comités d’entreprises n’étaient pas motivés comme leurs chers salarié.e.s…à l’image des deux France qui s’opposent.
Mais heureusement la catégorie cadre, notamment chez SYNTEC, fait partie de la France qui « marche » … à défaut d’une réelle reconnaissance notamment par la rémunération.
Ils se sont étendus tour à tour sur l’insuffisance de la baisse des « charges », même si les politiques menées en la matière par Hollande, puis Macron, restent plutôt « positives ».
De même, ils ont osé souligner qu’il fallait une convention collective plus souple… pour des salaires plus flexibles.
Et tout cela en quelques minutes…alors que dans le même temps en CPPNI, certains voudraient nous faire croire à des négociations intéressantes pour les salariés…
De qui se moque-t-on ?
La négociation des minima conventionnels est révélatrice de l’état d’esprit de cette organisation patronale dont le libéralisme est le ciment idéologique.
Montreuil, le 3 juillet 2019