Avis du Conseil d’Etat sur le projet de loi d’habilitation à prendre par ordonnances les mesures pour la rénovation sociale
Voilà l’avis rendu par le Conseil d’Etat concernant le projet de “rénovation sociale” et la
refonte
Voilà l’avis rendu par le Conseil d’Etat concernant le projet de “rénovation sociale” et la
Ce calendrier se découpe en 3 grandes phases qui s’étaleront de juin 2017 à mi 2019 :
Voici le texte du projet d’ordonnances que souhaite mettre en oeuvre le Président MACRON. Un texte qui fait la part belle aux revendications du patronat. Il est donc plus qu’urgent que nous nous mettions en ordre de bataille pour contrer cet agression du monde du travail.
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La Fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle tous les salarié-e-s de ses branches professionnelles acheter, et faire acheter, les thés et infusions produits par la coopérative SCOOP TI (ex-Fralib) vendus sous les enseignes 1336 et SCOOP TI.
Conception de la CGT :
La négociation collective est un droit des salariés mis en œuvre par les organisations syndicales. Son objet doit être l’acquisition de droits et de garanties collectives afin de rééquilibrer les rapports contractuels entre employeurs et salariés, ceci dans une logique de progrès social.
La CGT Capgemini interpelle les actionnaires du groupe Capgemini le 10 mai 2017, à Paris, sur le milliard d’euros de bénéfices redistribué entre les actionnaires et les dirigeants. Rien pour les salaires et cerise sur le gâteau, Capgemini ne paie pas d’impot !
Depuis le début de semaine environ 1500 détenus palestinien.ne.s ont entamé une grève de la faim illimité pour mettre un terme aux abus de l’administration pénitentiaire d’occupation. En guise de réponse, les autorités israéliennes, loin de prêter une oreille aux revendications des prisonniers grévistes, a au contraire augmenté le niveau de violence imposée à ces hommes et ces femmes qui luttent pour leur dignité. Leurs biens se trouvant dans les cellules ont été confisqué et certains prisonnier.e.s transféré.e.s ailleurs…
Cette année, le premier mai se déroulera dans un contexte politique très lourd. La manifestation viendra clore, à notre manière, le bilan d’un quinquennat désastreux et cinq années de luttes acharnées pour défendre nos droits. Mais elle permettra surtout d’exprimer, entre les deux tours des élections présidentielles, la voix des travailleurs et des travailleuses qui ont été les grands absents des débats politiques de ces derniers mois.
8 ans après le mouvement social LKP en Guadeloupe, c’est au tour des travailleurs et travailleuses de Guyane de se mobiliser. Depuis le lundi 27 mars, le département d’outre-mer est touché par une grève générale d’ampleur lancé par l’Union des Travailleurs Guyanais (UTG) qui regroupe 37 syndicats. Ce mouvement soutenu par la population et une partie des élus locaux est relayé par des collectifs militant qui se sont unis autour des préoccupations sociales et salariales qui touchent un des départements les plus pauvres de France. Le collectif « Pou la Gwiyann Dekolé !» (« Pour que la Guyane décolle ») est d’ores et déjà en train d’établir une liste de revendications qui dénoncent en particulier l’insuffisance en infrastructures sanitaires et scolaires qui touche le territoire, l’insécurité (la Guyane bat des records de criminalité) et la dépendance économique vis-à-vis de la métropole. Le mouvement, qui a commencé avec les salarié-es d’Endel (maintenance du centre spatial de Kourou) et d’EDF, a progressivement agrégé tous les mécontentements sociaux, des agriculteurs qui protestent contre le retard des versements de la politique agricole commune (PAC) aux amérindiens qui dénoncent le vol des terres et les conséquences de l’orpaillage, en passant par le personnel hospitalier, les transporteurs et les enseignants.