POLYMONT ITS : PSE : où en sommes-nous ?
Débrayage – bilan et suites
Pendant la première réunion du CE sur le PSE, à la demande des salariés de Saint-Denis, nous avons appelé à un débrayage le 5 octobre à 11 H pour :
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Pendant la première réunion du CE sur le PSE, à la demande des salariés de Saint-Denis, nous avons appelé à un débrayage le 5 octobre à 11 H pour :
Les récentes modifications du code du travail d’août 2015 portent sur la réduction de nombreux droits des salariés.
Mercredi dernier a eu lieu l’audience du tribunal de commerce dans le cadre du redressement judiciaire.
Cette audience n’avait, pour but essentiel, que de valider ou non la poursuite de la période d’observation. L’administrateur a également remis son rapport sur la situation de l’entreprise. Ce document reprend sans distance un grand nombre d’affirmations de la direction et avec bien peu d’éléments pour les étayer. Il nous a été remis la veille de l’audience.
En premier lieu, la direction indiquait dans une communication l’obligation légale de la dématérialisation des tickets restaurants. Ce qui était un MENSONGE. “La dématérialisation n’est en aucun cas une obligation” (C. Bazzini, DRH OAB, jeudi 18/12/2014, en CE). On ne parlait pas à ce moment-là du RIE. Puis, face au refus des salariés de perdre leur Tickets Restaurant à la suite d’une pétition au sein d’Obiane ayant reçu plus de 360 signatures, la direction a décidé de mettre en place un RIE….
L’accord du 5 mars 2014 relatif à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale mérite qu’on s’y attarde, car il octroie de nouveaux droits. Certes, le sujet de la formation est suffisamment complexe pour rebuter même les services des ressources humaines de nombre d’entreprises, refroidies notamment par l’expérience peu concluante du droit individuel à la formation (DIF). Mais les nouvelles dispositions légales devraient satisfaire plus d’un salarié, à condition… de les connaître.
Analyse des rapports Combrexelle et Mettling remis au gouvernement Hollande/Valls
La presse, la télévision, le patronat et le gouvernement nous répètent à l’envi que « rémunérer le travail pénalise la compétitivité des entreprises ». Notre modèle social serait un handicap dans la guerre économique, alors que les indicateurs économiques montrent que nos entreprises souffrent d’un manque d’investissement, d’une trop forte rémunération des actionnaires et d’une consommation en déclin faute de salaires corrects et d’emplois.
Tout d’abord, nous voulons souligner l’implication et l’engagement de la Direction : Monsieur DERMONT, P.D.G., a tenu à être présent en remplaçant Madame TERRASSIER, D.A.F du groupe, qui était, nous semble-t-il, la plus à même de présenter les comptes de Polymont Ingénierie.
Nous vous avons informés récemment de la négociation en cours avec l’administrateur judiciaire. De nouveaux développements nous amènent à revenir sur ce sujet.