SOFRES : Ô tempora, ô mores !
Il y a un peu plus de trois ans, TNS-Sofres décidait de se débarrasser du plateau téléphone de Malakoff, et laissait sur le carreau près de cent salariés. Si nombre d’entre-eux (CDI, CEIGA, CEE) bénéficièrent d’un PSE, les vacataires ne pouvaient prétendre à rien mais à l’époque la CGT et la CFDT avaient deux délégués syndicaux qui parvinrent à arracher des conditions de départ dignes pour ces sous-prolétaires.